Notes de lecture ovnis 2 : Greer, 2004, Berliner 2005, Sturrock 2002,

Publié le

2.1.

S.M Greer, Révélations, T.I, Témoignages de militaires et de fonctionnaires américains sur les secrets les mieux gardés de notre histoire, Nouvelle Terre, 2004

Le programme Révélations (Disclosure) de Greer rassemble en vue d’un examen hypothétique par le Congrès des États-Unis une sélection de témoignages d’une centaine de témoins officiers, pilotes, contrôleurs aériens, marins, policiers, d’hommes du renseignement, 4 heures de vidéo, 1.200 pages dactylographiées, des milliers de documents officiels et des centaines de photos.

Ses premières conclusions sont : Ils sont gentils mais ils ne veulent pas d’une irruption de nos armes de destruction dans l’espace. Il est stupide de vouloir combattre ceux qui pourraient nous éradiquer en une nanoseconde. Pourtant le SDI (strategic defense intitiative) aurait bâti un système de missiles anti-aliènes. Nombre d’entre eux auraient été abattus. Une rétro-ingénierie tente de créer des unités de propulsion antigravitationnelle opérationnelles, l’utilisation du champ électromagnétique ambiant et du vide quantique. La production d’énergie gratuite mettrait fin à la destruction de l’environnement et à la pauvreté, mais l’utilisation envisagée est militaire et le but est de leur piquer une technologie qui donnerait une hégémonie indiscutée qui doit rester secrète et échapper aux autres pays et au terrorisme. Ces activités sont aux mains d’une coterie paragouvernementale munie d’une caisse noire de 80 milliards de dollars par an, maniant le secret et une désinformation utilisant tous les moyens de la moquerie au crime. Il faut donc informer le public, réserver cette énergie à des œuvres pacifiques, créer une unité diplomatique de communication avec des espèces aliènes différentes et peut-être supérieures en psychisme et organes des sens. Nous sommes à un carrefour : la mort par pollution et chaos climatique, un développement facile, riche et pacifique.

Le premier tome de la trilogie de Greer, somme dune trentaine de 30 témoignages et d’une vingtaine de pièces officielles, serait un brûlot dévastateur s’il n’y avait pas un témoignage de trop, qui ne semble être là que pour décrédibiliser les autres, anonyme et sans pièce lui. Jusque là on pensait la mariée trop belle. Les délires du Dr B l’enlaidissent. Devant cette ambivalence je renonce à analyser les témoignages sensationnels et concordants attestant  :

- de la détection dès 1942 d’objets volant à 10.000 kmh, défilant au pas à hauteur des toits, faisant un point fixe silencieux à 1,50 m du sol, virant à angle droit ou inversant leur cap sans freiner ;

- de l’accident aliène de Roswell ;

- d’un officier ovni par base aérienne dès les années 50 ;

- du survol têtu et même neutralisation d’armes nucléaires y compris de porte-avions et de B52 ;

- l’intimidation, voire l’éradication des témoins bavards par des agents en civil des SR ;

- d’une escadrille spécialisée dans la récupération et l’effacement des preuves.

Et je me contenterai - ce n’est pas rien - de résumer les 24 documents officiels accompagnant ou doublant ces témoignages, remis dans l’ordre chronologique. Ces documents déclassifiés par des administrations contraintes ou concurrentes attestent la panique sousjacente au langage froid des rapports militaires rapportant et analysant une situation paradoxale. La nation la plus puissante de la planète sortant d’une guerre d’anéantissement de ses rivaux occidentaux et orientaux, la nation n’ayant jamais subi d’intrusion étrangère, se découvre parcourue et surveillée de près par des engins aux performances transcendant les siennes, ses installations vitales les plus secrètes détectées, inspectées, neutralisées parfois sans effort. Les preuves fonctionnelles de ces activités extrahumaines sont suffisantes pour qu’on puisse se passer des preuves physiques qui semblent s’y ajouter et des témoignages négligés. Sinon il faudrait renoncer à tout jugement et à toute connaissance terrestre qui sont souvent moins étayés.

On comprendrait à la rigueur que depuis 60 ans, scientifiques, décideurs, médiats, affolés, aient refusé de tenir compte de témoignages impossibles, d’interprétations exotiques et de rumeurs délirantes. On ne comprendrait pas que des documents historiques subissent le même sort sous prétexte qu’ils semblent confirmer ces témoignages et ces rumeurs. On ne comprendrait pas que des historiens n’exploitent pas sans passion cette manne de documents - dont des passages sont encore caviardés sur la photocopie 50 ans après les faits - découvrant un pan secret de l’histoire du dernier demi-siècle, pan jusque là caché derrière des déclarations scandalisées, des commissions scientifiques négationnistes, une politique du secret et de la désinformation poussée à des extrémités rares. 

1. Sans date. Mémorandum secret de Walter B. Smith, Directeur de la CIA. Objet : soucoupes volantes. Implications…

2. 13 janvier 1949, Rapport 4e Armée, QG Fort Sam, Houston, Texas à 14e AF, FBI, CEI, ANC

- Los Alamos, 20.12.48, 20h54, lumière tombant selon angle 45° puis 20°, 4 témoins,

- Los Alamos, 28.12.48, 04h31, lumière verte descendant verticalement et lentement ;

- BA Sandia, 06.01.49, 17h30, objet en forme de diamant fortement éclairé, altitude 500m…

Le Pr La Paz atteste que ces observations ne peuvent être des météorites.

3. BA Cambridge, Labo de recherche à Recherche géophysique : Les 27 avril et 24 mai 1950 alors qu’ils suivaient des opérations normales au photothéodolite Askania les land-Air Inc ont observé jusqu’à 8 objets en une fois, photos, deux objets différents analysés.

4. 31 mai 1950. EHOSIR. Analyse d’un film de la station P-10, 4 objets de 9 m de diamètre, se déplaçant à vitesse élevée à 45.000 m au dessus de la base d’Holloman.

Film pris au terrain d’essai de White Sands au théodolite le 27 avril 1950 un missile atteint la stratosphère, est rejoint par  un objet et chute au sol au lieu d’atteindre le Pacifique.

5. 13 octobre 1950, QG Knoxville à PC 3e armée, CSI, FBI, Sécurité. Les gardiens E. D. Rymer et J. Moneymaker ont vu un objet à 4000 m descendre et avancer au pas à 1,80 m du sol. Quand Rymer s’approche à 15 m, l’objet s’éloigne, prend de la hauteur et de la vitesse. Peu après il réapparaît 10 sec. à l’endroit où il a disparu. M. Hightower a pris l’observation en cours et le capitaine Joe Zarzecki a vu la 2e apparition. Des échos erratiques ont été vus par le capitaine Atkin sur le radar de Knoxville. Un chasseur a été envoyé et a eu un contact radar furtif. 

19 novembre 1950, PC/SAC : ovni entre sites M-8 et M-1 et grande lumière blanche suivant le terrain à 60 m du sol.

6. 21 novembre 1950. Ultra secret. Canada, ministère transports. Mémorandum de Wilbur Smith sur le géomagnétisme et ses implications dans la propulsion des disques volants.

7. 5 décembre 1950, 0447. Télex d’E. Hoover, Dir. FBI, à SAC Knoxville. Urgent. Détection d’objets non identifiés au dessus secteur d’Oak Ridge. Protection installations vitales.

8. 9 février 1951, 00h55. Vol 125 Keflavik - Argentia. Disque vu par 7 officiers d’un C-54 de la Marine au large de Terre-Neuve, lumière jaune étalée sur la mer, puis ascension rapide en passant à la forme de disque orange jusqu’à remplir l’écran visuel des pilotes, vole devant l’avion en formation, puis vire de 180° et disparaît à l’horizon. Taille 120 m, vitesse énorme. Rapport colonel USAF L. S. Harris : météorite, boule de feu ou aurore boréale. Météorite ascendante et facétieuse ! Rapports des lieutenants Bethune pilote, Kingdon copilote, Koger, navigateur, Jones commandant, Meyer, Shiever, Daniels, qui avec les passagers remplissent l’espace avant : l’angle d’attaque change, altitude et taille augmentent, vitesse passe à plus de 1000 milles/h, cercle rouge orange de 100 m de diamètre, la collision paraît certaine mais il vire de 180° à vitesse triple et disparaît, il s’est approché à 5 milles ou à 150 m.  Le lieutenant Jones a pris les commandes et amorcé un virage au 290 pour poursuivre l'objet. Dans son témoignage à Greer, Bethune raconte :  quand l’objet a foncé sur eux, les hommes debout se sont jetés à plat ventre. Ce qui est généreusement omis dans le rapport.

9. Février 1952. Mémorandum de H. Marshall Chadwell, Dir. adjoint. du Renseignement scientifique, à Directeur CIA. Des objets volants inidentifiés vus à des altitudes élevées et se déplaçant à grandes vitesses au dessus d’installations défensives majeures ne peuvent pas être attribués à des phénomènes naturels ou à des types connus d’engins aériens.

10. 29 juillet 1952. Lettre de V. P. Keay à H. Mont. L’Air Force n’a pu expliquer la nature des disques observés aux États-Unis. Le commandant Boyd dit que le S.R. Technique Aérien, B.A. de Wright-Patterson, Ohio, est chargé de coordonner les rapports, recouper, analyser, investiguer. Ces cas sont rapportés par des citoyens au sol, des pilotes entraînés à l’observation aérienne ; 3% des cas sont corroborés par des pistes radars, certains rassemblent quatre sources simultanées, optiques, radars, au sol, en vol. Quand un chasseur envoyé en interception, approche un objet, celui-ci disparaît à la vitesse de l’éclair.  

11. 12 juillet 1955. Rapport du sousdirecteur adjoint du renseignement scientifique.

Rapport OVNI B inhabituel (sic), BA Pepperrell, Terre-Neuve. L’objet a été observé par le pilote d’un avion ravitailleur KC 97 et un radar au sol pendant 49 minutes, les mouvements donnés par le pilote étaient ceux observés sur le radar. Todos M. Odarenko

12. 9 mars 1958. AF112. Panama. SR aérien. Objet : 3 contacts inexpliqués, avions guidés au radar sans résultat, signatures triangulaires importantes facilement différenciables des effets météo. Mouvements apparus par moment comme tentatives de fuite. Objet suivi par radar de tir et radar de suivi de Taboga. L’objectif restait à midistance entre les stations. Lumières rouge vert entrevues. Un vol commercial a été guidé près de l’objectif et n’a rien vu. Le 10 mars 1012, le radar de recherche signale un objectif à l’ouest du canal. Un T-33 d’Howard est envoyé. L’avion à proximité immédiate de l’objectif n’a rien vu. Cap. USAF V.D. Adams, Dir. adj SR, lnt-col. G. Welter, Dir. SR.

- Rapport du capitaine H. E. Stahlman officier ops du 764e de DCA à Fort Clayton. Le 9 mars à 2003 deux spots inconnus à 2045 près du fort Kobbe repérés par radar de recherche et transmis aux radars de suivi de Flamenco : 2 objets à 100 m l’un de l’autre. Durée radar 9.3/2003 à 10.3/0208. Quand les projecteurs de Flamenco ont éclairé les objets, ils ont bondi de 600 à 3000m. Les radars de suivi ne repèrent que des objets solides. V : du surplace à 1000 milles/h.

- Rapport lnt Roy M. Strom du 764e DCA : 11 mars 0400 le DC-6 Panam C-109 a vu un ovni à 12° au nord du couloir aérien Fox-Trot. L’objet plus grand que l’avion a été vu par le radar de Hawk canal 4 fois. Les rapports d’UFOB, en abrégé « U » sont à envoyer au PC aérien le plus proche.

- Journal de bord  de la section Mouvements et identifications ADCC

9 mars, 19h59. Avion inconnu en approche sur axe Tango.

2345. Objet à 4500 m de la batterie D Flamingo à 1000 m d’altitude, projecteur port utilisé.

2355. Objet s’éloigne vite. 2400. Radar : l’objet a commencé à fuir dès que le projecteur l’a touché. 0002. Objet à 3000 m d’altitude à 7000 m de la station. 0055. Deux objectifs à 100 m l’un de l’autre. 0210. Perdu contact radar.

1012. Engin aérien inconnu, V : 290 puis 900 n, ralentit, s’immobilise 3 minutes et repart.

1030. Ops Howars signale ovni, Cdt Davis s’apprête à décoller et aller voir.

1120. AF5289 (T33) a décollé pour voir ovni. Ovni a été observé

13. 1964. Lettre du cdt Mansmann du 6 mai 1987 confirmant le témoignage du lnt Robert Jacobs sur l’incident de lancement d’un missile à tête nucléaire factice, B.A. de Vandenberg, 1964. Le film a révélé qu’après largage du 3e étage, la fusée à 110 km, à 25000 kmh, un disque s’en approche tourne autour et envoie un faisceau lumineux par 4 fois. Peu après la fusée, au lieu de se diriger vers sa cible, un îlot du Pacifique, retombe au sol.   

14. 7 octobre 1965. Enregistrement échanges entre contrôleurs, pilotes, officiers, station de San Pedro, dir. de vol, base d’Edwards, officier ovni : 1 à 7 objets, lumière rouge, manœuvres erratiques, v : n milliers de milles/h ou stationnaires, distance 9000-12000m, altitude 1500m, quand l’avion arrive, objets s’élèvent rapidement dit radar altimétrique. Cherchez plus haut. Selon observations au sol l’avion a volé juste en dessous d’eux. 

15. 16 mars 67, 0845. SAC Ref : mon message secret DM 73, 82751 du 17.03.67. Accident  d’alerte stratégique à ECHO FLIGHT, BA de Malmstrom. Totalité 10 missiles hors d’alerte stratégique à 10 sec d’intervalle. Aucune raison n’a pu être déterminée, grave sujet d’inquiétude pour l’état-major. La remise en fonction a demandé 24 h.

16. 24 mars 1967. ZNR U, Malmstrom à ADC, Wright-Patterson, Washington.

Nombreuses observations d’ovnis à la BA Malmstrom, secteur Great Falls, Montana, plusieurs atterrissages d’ovnis secteur Belt, Montana, le site d’atterrissage est sous surveillance, recherches à terre par sheriff comté de Cascade et aériennes par hélico.

17. Novembre 1975. Journal de bord du PC de la 24e Région du NORAD, BAF Malmstrom.

7 novembre 75, 10h35, appel 341e PC du SAC, les sites de missiles M-1, L-3, LIMA et L-6 sont en train de voir un grand ovni passant du rouge à orange et jaune.

12h03, de SAC : Un ovni a illuminé l’allée du site du LCF d’Harlowton, Montana.

13h19, de SAC : K-1 observe un objet très brillant est-sud-est, orange, plusieurs feux.

13h27, L-1 rapporte qu’un objet tubulaire noir semble sortir de l’objet qui est au nord est.

8 novembre 75, 0635, K-1 et K-4 signalent ovni à lumières blanches, une rouge 50m en AR. 

0645, Radar d’altitude : objets à 3500 m, 18 nœuds.

0753, Inconnu à J330, stationnaire/ 7 nœuds, 1 à 7 objets, deux F-106 avertis

0915, Chasseurs et objets observés de 4 points différents : quand avions sont arrivés dans le secteur, lumières se sont éteintes ; quand avions partis, lumières se sont rallumées

0953, L-5 signale, objet monte en altitude à grande vitesse et ne peut plus être distingué.

1105, E-1 signale une grande lumière blanche.

- 9 nov 0305, L-1, L-6, M-1 : objet jaune, lumière ronde, nord d’Harlowton, A :  600/1200 m

0320, PC/SAC signale disque orange 20 milles sud-est de Lewistown. FAA signale qu’elle a 5 avions transport à proximité de l’ovni. PC/SAC : sites voient toujours l’ovni stationnaire.

0348, L-1 voit objet, équipe de sécurité au sol, ordre de s’approcher et rendre compte

0629, Observation ovni rapportée, supprimer équipe aérienne de sécurité de L-1.

- 10 novembre 75, 0125, Observation ovni site K-1.

1125, Ovnis sur BA Minot , objet brillant à 1015 à 300-600 m au dessus de la station,

12 novembre 0230, ovni signalé par K-1 au dessus de Big Snowy, altitude élevée, feu rouge

0248, Second ovni sur K-1 a paru émettre un faisceau de lumière vers le sol intermittent.

- 13 novembre 75, PC/SAC. Equipe P-SAT en route de R3 à R4 a vu lumière blanche, e-o, 1’.

- 19 novembre 1975, PC/SAC : objet entre M-8 et M-1, lumière blanche 50 sec. à 60 m du sol.

18.  Journal de bord  du Commandement du NORAD, 1975

29.10.75, 0630, hélicoptère inconnu atterrit sur dépôt munitions BA Loring 2 nuits de suite.

31.10.75, 0445, BA Wurtsmith, hélicoptère inconnu surplace sur dépôt d’armes du SAC, suivi à vue puis au radar, 25 minutes.

01.11.75, 0920, survol base Loring par hélicoptère inconnu.

08.11.75, 0753, 24e région NORAD, 1 à 7 objets, alerte sur K-1, L-1, L-6, 2 F106 ont décollé, K-3 signale objectif à 90 m, L-4 objectif à 9000 m, les lumières se sont éteintes quand les F-106 sont arrivés et rallumées après leur départ. Radars Great Falls contacts intermittents.

10.11.75, 1700, BA Minot frôlée par objet brillant, taille voiture, altitude 300-600 m silence

12.11.75, 0715, Sudbury, Ontario, deux objets et lumière intermittente

14.11.75, 0530, objet 1h1/4 en rotation, feux blanc et rouge

15.11.75, 0742, objet tasse sur bol montant et descendant 20 minutes, 2 témoins

15.11.75, boule orange sur River Court Ontario, stationnaire, 2 feux rouge

18.11.75, 0644, Esko, Cigare feux rouge, vert, blanc, monte et descend, virages serrés, 2 h,

23.11.75, 1700, voiture suivie de Sudbury à Chrimsford par grand objet ovale à clignotants.

25.11.75, 1245, Petersburg, Virg., objet surplace à cime arbres, 4 feux rouges en diamant et 2 blancs à éclats

19. 8 août - 3 septembre 80, BA Kirtland, cdt E. B. Edwards, 1608 SPS Manzano

Le 8 août 80  trois PM de la BA ont vu une lumière au dessus du canyon du Coyote, qui est une grande aire d’essais au sol, y atterrir puis décoller à la verticale et disparaître.

Le 9 août, à 00h20 un garde de Sandia a vu un disque en sustentation près du sol, il veut alerter mais radio en panne ; quand il s’approche à pied l’engin décolle verticalement.

Le 10 un policier d’état a vu objet atterrir secteur de Manzano près de la BA Kirtland.

Un autre en a vu plusieurs fois du 1 au 7 août et n’a rien dit par crainte de harcèlement.

Le 22 août trois PM voient atterrir un objet dans le canyon. R.C. Doty

20. 3 juin 1980. Ministère Défense, chef d’état-major adjoint, Un ovni repéré 2 fois par armée air Pérou, près BA Mariano Melgar, matin 9 mai et nuit 10 mai, sphéroïde, surplace au dessus piste, un SU-22 décolle, l’intercepte et fait feu à courte portée sans lui causer le moindre dommage apparent ; 2e observation engin éclairé, un SU-22 envoyé, vite distancé.

21.  27 décembre 1980, base Otan Bentwaters-Woodbridge, Ministère de l’Air

0300, deux policiers voient des lumières à l’extérieur du portail au fond de la base, forme triangle, métallique, 2m x 3m, illuminait la totalité de la forêt, blanc à feux rouges pulsant au dessus et bleu en dessous, surplace, quand ils se sont approchés il a décollé, une heure après on l’a revu près du portail. On découvre 3 empreintes 3,8 cm x 17,8 cm et radioactivité de 0,1 miliröntgen. Nuit du 28, lumière rouge aussi brillante que le soleil pulsante baladeuse,  particules lumineuses, scindé en 5 puis 3 objets à mouvements rapides et feux rouge vert bleu, l’objet nord est resté une heure, l’objet sud 2 ou 3 h, de temps en temps il braquait un faisceau lumineux vers le sol, nombreux témoins dont C. L. Halt lnt-col. USAF, cdt en second de la base.

22. 18 décembre 1986, 18.11.86, 02h18 TU, rencontre avion japonais/ovni : enregistrement des transmissions pilotes, contrôleurs, radaristes : Vol JAL1628, Anchorage ARTC secteur R/D15, secteur R15, Cdt ops rég. ROCC, Vol UAL 69, Contrôle approche Fairbanks.

0219. JAL 1628 signale un objet à 1 mille sur son avant à son altitude à éclats jaunes et blancs, ANC répond absence de trafic dans le secteur ZAN 15

0225. JAl 1628 : J’ai l’objet sur mon radar à 11h et à 8 milles.

0226. Le contrôle militaire ops interrogé confirme capter écho à 10h à 8 milles du 1628.

0231. 1628 : l’objet est gros comme dix 747, je demande à descendre de FL350 à FL310.

0232. ZAN : Accordé.  1628 : L’objet descend en formation avec moi.

0235. Autorisation changement de cap au 210. Fairbanks interrogé n’a pas de contact radar.

0236. Autorisation virage de 360° demandée et accordée.

0238. ROCC : confirmation d’un vol de 2 objets sur la position de 1628.

0242. ROCC : l’objet s’est rabattu en arrière et sur la droite de 1628 puis a été perdu.

0244. 1628 : l’objet est à 9h. ZAN autorise un UAL à virer de 10° à la rencontre du JAL1628.

0248. 1628 : le trafic est 7h à 8 milles.  UAL : Je vois le JAL avec une lumière en arrière plan

0253. Le 1628 n’a plus de contact.

L’ovni a été vu par les avions JAL et UAL et par les radars militaires, il n’a pas été vu par les radars civils selon QJ. Gates, Directeur du trafic aérien d’Anchorage : Les données radar enregistrées par centre d’Anchorage ne confirment pas la présence de l’objet rapporté par le Vol JAL1628. Ce qui est contredit par les contrôleurs aériens : J’ai eu plusieurs fois un écho principal à l’endroit où le 1628 avait rapporté avoir vu l’appareil (C. E. Henley). Après que la portée du radar ait été réduite à 20 m, j’ai observé un écho radar sur la position du trafic rapportée par le pilote (SJ Rich). J’ai observé des données radar qui correspondaient aux informations rapportées par le pilote de JL1628 (JL Aarninck).




Steven M Greer, Révélations, Tome 2, Témoignages de militaires et de fonctionnaires étasuniens, Nouvelle Terre, 2004

Les révélations distillées par ces hauts fonctionnaires et militaires de tout rang sont si fantastiques que j’ai hésité à résumer ce deuxième Greer qui pourrait bien être de la désinformation amplifiante. Mais l’exposition de la désinformation, minimisante ou amplifiante, du phénomène ovnien est une des preuves de sa réalité. Si désinformation amplifiante, elle mêle vrai et faux. A nous de les séparer

Témoignages du cdt George A. Filer, OR de la 21e Air force.

1. Le 18.01.1978, vers 5h arrivant au PC, il apprend le survol dans la nuit de la base (MacGuire), par des ovnis vus et radarés, l’un a atterri à Fort-Dix, un PM a tiré au revolver sur un petit aliène macrocéphale qui est allé mourir à MacGuire et a été évacué en C-41 sur la base de Wright-Patterson. Des photos ont été prises qu’il n’a pas le droit de regarder. Le personnel témoin (10-12) sommé de se taire, sera muté et dispersé. 

2. Une amie ingénieur et un couple ont vu à quelques centaines de mètres un disque au sol et deux aliènes prospecteurs de roches. Quand ils s’en aperçoivent, ils rembarquent et l’engin décolle.

3. En 1962, pilotant un avion ravitailleur, le contrôle de Londres lui demande d’intercepter un ovni. Il a un gros écho évoquant un diamètre de 500m au-dessus de Stonehenge. Quand il est à un mille de ce disque à dôme et à lumières circulaires, il monte à la verticale à 1800 milles.heure.

4. Medford, N-Jersey, à 3h sa femme et lui sont réveillés par l’illumination de la chambre, il ouvre les volets, voit un disque de 9 m émerger ruisselant du lac de Briarwood le survoler dans un halo d’ionisation puis disparaître à ultra grande vitesse.

5. En 1976 il a eu à faire un exposé aux généraux sur l’affaire de Téhéran.

6. Le capitaine Radmige a eu pendant la guerre de Corée un truc contre son aile pendant une heure puis il fait des acrobaties autour de l’avion et disparaît.

7. Il y a plusieurs années un colonel du SR lui a dit que l’équipage d’un B-52 avait vu un ovni. Comme nombre de pilotes, de militaires, de policiers, d’agents FBI.

T de Nick Pope, ministère de la Défense  GB, chargé des ovnis.

1. Les 30-31 mars 1993, 01h10, les bases RAF Cosford et Shorebury, Midlands, ont été survolées par un grand triangle, vu à 60 m et invisible au radar, à faisceau balayant le sol, à bourdonnement de BF, vitesse 50 kmh. Soudain il rétracte son faisceau et file comme une flèche.

2. Il a connaissance de nombreux films de caméras montées sur des chasseurs.

3. Il a travaillé sur l’affaire de Rendlesheim.

4. Il y a des centaines de dossiers au ministère et aux archives dont 30 accessibles au public. Vague d’ovnis sur l’Angleterre en mars 1993.

Documents

1. Courrier du QG du Groupe n°11 du 6 décembre 1956, Réf : 11G/S.1803/Rens.aérien

Objet : Rédaction et transmission des Rapports sur les phénomènes aériens inhabituels.

2. Rapport d’observation, 14.04.57, 5 ovnis dont l’écho radar est celui d’un navire et dont l’un a stationné un moment à 21.000 m, par stations West-Freugh et Balscalloch.

3. Rapport d’observation du Pr Brenig, 18.03.1990 près de Liège, photos par autre témoin.

4. Rapport d’observation par un officier air belge en novembre 1989 sur autoroute Liège.

Témoignage de l’amiral anglais Hill-Norton, 07.2000. Directeur du ministère de la défense, laissé dans l’ignorance du problème ovnien, a connu l’affaire Bentwaters. Il est convaincu de l’intrusion ET et de la nécessité urgente de savoir qui ils sont et ce qu’ils veulent.

T du capitaine L. Rehfeldt, octobre 2000. Elle a vu l’ovni de Bentwaters et confirme qu’un matériau gris type plastique thermostable y a été récupéré et étudié.

T du sergent us C. Stone, septembre 2000. Il était du 37e groupe de DCA qui le 26.02.1942  a tiré 1400 obus sur une vingtaine d’engins inconnus une heure au-dessus de Los Angeles. Le général MacArthur a créé en 1943 une UR sur les phénomènes interplanétaires. L’opération Mouche bleue  du SR Air et de son escadrille 4602 recherchait des matériaux exotiques. L’opération Poussière lunaire cherchait à en tirer une technologie exotique. Quand les gens sont mis au courant ils ne peuvent plus que se taire. Il a vu des dossiers détruits pour ne pas être vus par des sénateurs. Il a participé à une opération de récupération de matériaux exotiques, une analyse sur site. Leurs pouvoirs psychiques sont grands, ils lisent dans nos cerveaux, il a vu un petit ET dans un des 50 soussols du Pentagone. Sans ascension spirituelle ils ne nous laisseront pas aller dans l’espace. Il a participé aux études d’ovnis belges, russes, iranien, brésilien. Les avions us ont tiré vainement sur des ovnis, une vingtaine d’épaves ont été récupérées. Les aliènes ont une base au Vietnam à 11 km de la frontière cambodgienne !

Document : Rapport sur l’observation de Téhéran du 19.09.1976 neutralisation du système d’armes et de communications d’un F-4 par l’ovni.

Témoignage du général Vassili Alexéief, 03.1997. Les transports de cargaisons spéciales font apparaître les ovnis, des essais de contact par mouvements des bras et par la pensée ont eu lieu. Ils jugent nos comportements guerriers mais ont un devoir de non ingérence.

Documents. Rapport sur un ovni le 09.1974 à Chadrinsk, Kurghistan

Rapport sur l’ovni du 20.10.1982 au-dessus de l’aérodrome de Pétropavlosk

Rapport sur l’ovni du 24.10.1983 sur Koursk, Voronej, Elets.

T du sergent-chef D. Morris USAF/NRO, 09.2000. Il avait une autorisation d’accès du niveau Ultrasecret cosmique, ce qu’aucun Président des EU n’a eu. Il y a 38 niveaux au-dessus de l’ultrasecret. Les tueurs de la NSA auraient éliminé Forrestal et Snyder. Le Nat. Recon. Org. créé par Einsenhower en 1968 travaillait avec les SR terre, Air, Mer, à la BA Langley. Les radars à grande puissance agissent sur la stabilité  des ovnis quand ils sont bas et lents. Roswell aurait été provoqué par une concentration de faisceaux de radars. Il a été chargé de persuader des témoins qu’ils avaient halluciné. S’il échouait, une équipe menace prenait la suite, et, en dernier ressort, les nettoyeurs. Pendant ce temps rétroïngénierie et dissections d’aliènes : un scoupe ils n’ont pas d’appareil de reproduction. Il faut cesser d’abattre des ovnis.

Document, Rapport sudafricain sur la récupération d’une épave d’ovni et de deux aliènes dans le désert du Kalahari le 07.05.1989.

Témoignage de D. Phillips, ateliers interdits de Lockheed. La rétroïngénierie a permis les puces informatiques, lasers, vision nocturne, gilets pareballes, fibres optiques, scanneurs anatomiques portables où le signal coloré circule dans la lumière du tube. On a vu, radaré, enregistré les évolutions à 3-7.000 kmh à angle aigu d’une formation d’ovnis au-dessus de la zone 51 en 1967. Il y a eu des rencontres, Il a la transcription d’une bande audio de N. Armstrong à l’alunissage d’Apollo : - Ils sont là, juste au-dessus, regardez la taille de ces vaisseaux. Il est évident que ça ne leur plaît pas qu’on soit là. Ils ne veulent pas qu’on soit là. Mais eux utilisent les énergies naturelles de la planète Terre.

T du capitaine B. Uhouse, USMC, octobre 2000. Ex pilote de chasse des marines, pilote d’essai civil à la BA W-Patterson, Il y a vu un simulateur de disque volant, quatre aliènes ont présenté un disque, ils travaillent avec nos ingénieurs sur des engins à antigravité. Ils n’ont pas de ceinture de sécurité, car ils ont leur propre champ gravitationnel. Les hublots sont des caméras pour voir l’extérieur.

T du lt-colonel J. Williams, USAF, 09.2000. La BA de Norton détient un disque, visité par le sénateur B. Dole. Le budget de l’antigravité est faramineux.

T de MD. Johnson, 12.2000. Étudiant travaillant à Century Graphics en 1971 il a vu un schéma de chambre à antigravité de Hughes Suma qu’il n’avait pas le droit de regarder. 

T d'H, Boeing aerospace, 12.2000. Le général LeMay lui a confirmé la réalité de Roswell. Un contact à la NSA lui a dit que Kissinger, Reagan, G. Bush et Gorbachof étaient au courant. Le FBI a découvert que les essais radar avaient occasionné des chutes d’ovnis. Les ET ont des bases souterraines en Utah, inaccessible par terre, en Californie, dans les BA Edwards, Eglan, Londres. Des ovnis ont été abattus par des missiles et des épaves récupérées. Un ami a vu plusieurs gris macrocéphales macrophtalmes à 4 doigts identiques. Lui-même en a ramassé un mort à Roswell de 20 kg. Une espèce dite les Oranges nous ressemblerait beaucoup. Les conditions de travail dans la zone 51 sont de type totalitaire. La rétroïngénierie a donné des armes à ondes sonores et la propulsion électrogravifique,

T d’Alan Godfry, Police anglaise R, 11.2000. Le 28 novembre 1980 de 05h00 à 05h15, il a vu avec 5 policiers dans l’Yorkshire un ovni de 6 x 4 m à 23 m de lui, dont l’hémisphère inférieur était en rotation, en silence stationnaire à 1,5 m au-dessus de la route, secouant la végétation, débranchant moteurs, phares et radios de bord, ils ont été mutés et psychiatrisés. Il a découvert à temps des drogues dissimulées dans son casier.

T de Gordon Creighton, ex diplomate FO, 09.2000. En 1941 à l’ambassade en Chine, il a vu un disque silencieux à feu boule en plein jour. Il travaillait à Whitehall sous un Air technical consacré aux ovnis ; Il a appris les observation de feux de combat de 1943 qu’un ovni a atterri dans la propriété de l’amiral Mountbatten devant le personnel. Pour lui le Pr Macdonald, l’astronome K Jessup et un éditeur de revues soucoupistes ont été tués par des barbouses.

T du sergent Karl Wolfe, USAF, 19.2000. Technicien photo à Langley 1964-67, il a vu des photos de structures lunaires avant l’alunissage, ils avaient ordre de se contenter de basses résolutions sur les photos satellites de Mars. Il avait un droit d’accès du niveau crypto.

T de Donna Hare, PhiloFord, 11.2000. Travaillait à la nasa pour un fournisseur. Elle a vu un ovni gommé d’une photo avant d’être rendue publique. Il a vu faire brûler des photos d’ovnis. Il dira plus devant le congrès.

T de M. J. Maynard R, DIA. Il a analysé des communications radio exotiques. Il a vu des photos d’ovnis ronds et triangulaires. Droit d’accès umbra , il a vu des notes de rétroïngénierie : Armes laser ; plusieurs on entendu le jour de l’alunissage : - Vous avez raison ? ils sont déjà là (gommé après un passage).

T de H Bentley, Us army, 08.2000. Il assiste à un crâche d’ovni à la base Nike-Ajax, Maryland, mai 1958 à 2000 m de lui. Il repart en laissant des fragments qui ont été vite nettoyés. Une nuit, au radar M33 il a vu décoller une formation à 31.500 kmh. Pendant une mission vers la Lune il a entendu : - Le petit démon est à côté de nous et il vole. Des photos.

T du Dr R. Wood, ingénieur MacDonnell Douglas. Il y faisait de la rétroïngénierie de propulsion ovnienne, il a proposé ses infos à Condon qui a remercié puis de scinder son groupe en croyants et sceptiques. Condon a tenté de le faire virer mais MacDonnell l’a couvert. Il connaissait MacDonald qui, 6 semaines avant son suicide lui a dit : - J’ai la réponse. Il a travaillé sur un programme de vision à distance coordonnée. Lors du raid sur Los Angeles, deux engins auraient été abattus, un dans l’océan, l’autre récupéré sur le mont S. Bernardino. Il connaît de sprogrammes opaques clandestins sur la connexion propulsion gravifique et, contrôle psychique.

Te du Dr A Webre, analyste politique, 08.2000. Il a travaillé au problème de communication ET Crter 1977 avec le SRI. Il connaît des armes électromagnétiques de contrôle de la pensée. Niveau d’accès MK ultra.

Document. Première page de la déclaration sous serment de Webre

Document. Compte rendu d’observation d’ovni de J. Carter au ICAP

T de Denise Mackenzie, SAIC, 03.2001. Comme on lui donnait peu à faire, elle a fouillé dans les disquettes du service et subi un harcèlement sexuel et agressif, Recrutée en protège programmes opaques ovniens.

T de PH Hutz, 2000. Son père PA Hutz a travaillé à la Z51 avec un droit d’accès Q à un programme de nouvelle énergie. Il partait de Las Vegas tous les matins dans un 737 noir, 5-6 avions. Connexion armes psychiques - énergie de propulsion.

T du colonel P. J Corso, us army, OR dans le NSC, il a vu les aliènes morts à Roswell, il a radaré des ovnis à 7500 kmh, réceptionné des fragments exotiques, vu les rapports d’autopsie et était chargé d’ensemencer l’industrie. La surface des ovnis serait de type biologique anti-radiations, Le général Trudeau lui a dit que les transistors et les circuits intégrés ont été accélérés de 250 ans.

Document FBI, Sur 3 épaves d’ovnis au N. Mexique probablement victimes de radars THP.  Lettre du Dr R. Sarbacher 29.11.1983 à W. Steinman sur la politique du secret.

T de P. Corso, fils du colonel, 10.2000. En 1957 son père cdt le 552e bataillon de missiles, dans un grotte de White Sands aurait reçu la demande télépathique d’un aliène de couper ses radars pendant 15 min. Ses radars ont détecté un cigare qu’il a forcé à  atterrir. Il a échangé des fragments infroissables avec W. Smith, S. Thurmlan, E.Hoover, parlé à des membres du congrès à l’insu des présidents. Il a manipulé une plaquette de fibres optiques, le premier circuit intégré à alignement atomique, le premier laser, il dit l’analogie entre la peau des aliènes et la paroi des nefs, les aliènes partie propulsion des nefs, l’ensemble nefs – aliènes est vivant !

T de Glen Dennis, 09.20000. Ambulancier croque-morts de Roswell, confirme la commande de petits cercueils et les renseignements fournis par l’nfirmière disparue.

T du lieutenant W. Haut, USAF, 09.2000, Porteur du communiqué du colonel Blanchard, cdt la BA de Roswell et l’escadrille de bombardement atomique. Confirme tout.

T du sergent L. Pretko, USAF, 11.2000. En 1950 avec 200 témoins dans un théâtre en pleiir ils ont vu neuf disques argentés au-dessus de Pearl-Harbour. Le général MacArthur a vu l’engin et les aliènes de Roswell.

T de D. Willis, USN, 03.2001. Il avait un droit d’accés 14e crypto. Il a reçu en Alaska un message insolite d’un ovoïde filant à 13.000 kmh, suivi par les radars du NORAD.

T du Dr R. Pinotti, 09.2000, Les FA italiennes ont 215 cas inexpliqués dont certains de 1930-36 qui inquiétaient Mussolini dont une survol de Venise, une nef gigogne porteuse de soucoupes, des traces au sol à Campagna, Naples, Le général Marcheletti a été survolé par un engin énorme au-dessus de son avion, qui giclé à la verticale.

Memorandum du Directeur du renseignement scientifique à Dir. centrale du renseignement du 10 décembre 1952 : Observation de dix ovnis. Lumière 4 h au-dessus du Maine. Contact avec un engin atterri en Floride. Nombreux rapports d’engins aux performances exotiques.  

Ve partie. Science et technologie. Nous avons 20 ans avant un effondrement énergétique par explosion exponentielle des besoins en pétrole et effondrement du cadre vital géoatmosphérique par explosion exponentielle de la pollution et de l’effet de serre. C’est aussi le temps nécessaire pour mettre au point les nouvelles énergies ovniennes. Qui sont :

- énergie du vide quantique ou point zéro ; ou énergie de l’espace

- propulsion électromagnétique et électrogravifique ;

- effets du nucléaire sur la t° ambiante ;

- énergie électrochimique.

Témoignage de M. MacCandlish, USAF, Brad Sorensen, 12.2000. En 1967, à la BA Westover, il a vu au télescope un engin lumineux lévitant au-dessus du dépôt nucléaire pendant 10’ et départ  éclair. M. Stambough a fait léviter un disque ARV (reproduction de véhicule aliène) par effet Bielefeld-Brown à la BA de Norton le 12 novembre 1988, par énergie du point zéro. Le B2 et l’Aurora sont capables de larguer des têtes nucléaires de 15 MT en 30’ en tout point du globe.

T du Pr P. Czysz, 11.2000. Ingénieur à Wright-Patterson pour MacDonnell, technologie exotique, a participé à la traque de nombreux ovnis chronométrés à 37.000 kmh au-dessus des Missouri, Ohio, Michigan. A St Louis il a vu un triangle faire un bond de 35 km en 3’’. L’énergie du point zéro égale 50 MW par 2,5 cm3. On a des avions volant mach 12 ; Quand Tesla est mort, 5 agents FBI ont raflé ses papiers et appareils (antenne pouvant transmettre de l’énergie à Mars).

Documents. Lettre du colonel MacLaren,09.02.1981 sur les papiers saisis à la mort de Tesla. Rapport de SAC Cincinatti 18.08.1983 à Dir FBI, sur Tesla homme hors du temps.

T du Dr H. Puthoff, 11.2000. Par effets Lamb et Casimir, l’énergie récupérée est gigantesque, un fond de tasse évapore les océans. Le NORAD a enregistré des mobiles rapides à des vitesses non terrestres. L’énergie zéro et l’effet gravitationnel négatif par utilisation des champs électromagnétique sont à notre portée.

T de D. Hamilton. Les réserves d’énergie fossile s‘épuisent au moment où la demande Chine Inde explose. Les Russes sont parvenus à réduire la gravité de 35 %.

T du lieutenant-colonel TE Bearden, 10.2000. Il est possible de séparer du champ magnétique  le potentiel du vecteur magnétique. Le transfoamplificateur de Tesla, à Long Island était capable de faire entrer la Terre en résonance. L’économie mondiale s’effondrera en 2006 si l’on ne passe pas aux énergies nouvelles. Des menaces l’ont fait cesser de publier sur l’antigravité. L’énergie du vide c’est le mouvement perpétuel.

T du Dr E Mallove, octobre 2000. Il y a des dispositifs électromagnétiques unitaires qui produisent plus d’électricité qu’ils n’en reçoivent.

T du Dr P. LaViolette. Auteur d’une cosmologie alternative à la Théorie générale de la Relativité, la cinétique subquantique, expliquant le couplage électro-gravifique de Brown et le phénomène de matérialisation/dématérialisation, attraction sans répulsion, effet de puits gravitationnel. Le B-2 utilise la technique électrogravifique.

T de F. Threlfall, RCAF, 09.2000. En 1953 à Toronto il assiste à une expérience de dématérialisation. A vu des films de la 2e GM pris par les avions américains montrant des feux de combat par vingtaine.

T du Dr T. Loder, 10.2000. Le général S. Lovekin lui affirme la réalité des ovnis et qu’on détient la clef des technologies de remplacement. Il ont vu à six un ovni en 10.1997 à Joshua, il a vu  2 fois un ARV, un ovni de la taille apparente de la lune, les matériaux de Roswel.

 

Le livre se termine sur un modèle d’appel au Congrès des États-Unis, Sénat et Chambre des représentants pour la fin du secret sur les ovnis, sur les systèmes d’énergie nouvelle et l’interdiction des armes dans l’espace.



 

2.2.  on Berliner, avec Marie Galbraith et Antonio Huneeus, OVNI, Document de synthèse, Rocher, 2005.

Introduction de Whitley Striber. Madame Galbraith est l’épouse de l’avant-dernier ambassadeur des États-Unis en France. Le livre a aussi la caution de la Fondation Rockfeller et des trois grands instituts d’enquête et de recherche sur les ovnis des États-Unis CUFOS, FUFOR, MUFON.

La première partie parcourt la saga américaine des programmes et commissions censés terminés par la commission Condon,  qui a conclu, non pas comme on le dit, à l’inexistence des ovnis mais à leur absence de danger pour la sécurité des États-Unis et à leur manque d’intérêt scientifique. Les ovnis n’existent pas mais ils ne sont pas dangereux et ils sont sans intérêt. ! Ces mensonges étaient dictés par l’impuissance vis-à-vis du phénomène et la volonté de copier ses performances. Mais le rapport tout entier était une imposture car ces conclusions cachaient une réalité avouée dans le texte : 28 % des affaires étudiées étaient restées inexpliquées.

Ce document de synthèse parviendra-t-il  à réussir ce que beaucoup d’autres ont tenté depuis 60 ans : que la réalité d’un phénomène inconnu à étudier scientifiquement soit reconnue, qu’une étude d’ensemble succède enfin à la volonté de banaliser chaque affaire comme si elle était seule de son état.

On peut en douter sachant que tous les grands élus, gouverneurs, chambre, congrès, hommes politiques des États-Unis, dirigeants du monde entier, l’ont reçu en 1996 et qu’il a été publié en 2000 en américain. Le silence a été leur seule réponse.

Ce ne seraient pas les moyens d’étude qui manquent aujourd’hui où nous pouvons détecter le mouvement rapide d’une balle de tennis à 70.000 km. Pourtant le document de synthèse apporte une fois de plus les preuves de la réalité physique du phénomène et de leur  dissimulation par l’armée de l’air des États-Unis. Dissimulation polyvalente par le silence, le mensonge, la désinformation minorante et amplifiante, la menace et la dérision. Les auteurs croient qu’un de ses effets est le rapport  COMETA son pendant français, mais comme il n’a pas fait plus de bruit que lui, où est l’avancée ?…

Et un autre le rapport Sturrock. Pourquoi pas aussi le programme Révélation de Greer. Qui n’a pas fait mieux que ses précurseurs. Alors. ?

Le jour où le mystère sera éclairci la postérité ne comprendra pas le temps indéfini mis par l’humanité à vérifier quoi ou qui tourne autour de sa maison. Car comme l’a dit Oberth si une espèce a acquis le voyage interplanétaire,  elle a déjà colonisé la galaxie  entière. Un million d‘années aura suffi.

Deux faits contradictoires : l’accumulation des preuves, la permanence du secret, malgré la découverte d’une intense activité interne partiellement dévoilée par la Loi sur l’infomation et quelques cas plus récents. Ce qui fait dire à Strieber que ce seraient les aliènes qui exigeraient un secret sans faille. Les deux parties ont leurs raisons de vouloir le secret. Les aliènes, « que seule la connaissance intéresse », voudraient observer une évolution in vivo sans interférence. Les EU voudraient acquérir une science et des armes sans égales sur Terre. Exemple de dissimulation : l’affaire de Roswell est niée jusque par la menace et  la (prétendue) destruction d’archives.

L’auteur recense et résume les observations les plus pertinentes : feux de combat de la 2e GM ; fusées fantômes scandinaves de 1946 ; vagues américaines de 1947, 1952 et 1957 ; première affaire de Bentwaters, quinze ovnis vus et radarés, deux venoms envoyés en interception ridiculisés par les ovnis, 1958 ; les photos de l’île de la Trinité prises d’un bâtiment école de la marine brésilienne 1958, l’atterrissage de Socorro, 1959 ; l’affaire Michalak, effets pathologiques sur l’homme, 1967 ; les îles Canaries, nombreux témoins crédibles, 1976 ; Téhéran 1976 neutralisation des systèmes d’armes et de communication de chasseurs en interception, 1976 ; affaire Bentwaters-Rendlesham, 1980, Trans-en-Provence 1981 ; 20 ovnis,  deux bases aériennes, stations radar, deux chasses à l’ovni, Brésil 1986 ;l’ovni géant du 747 japonais de Terauchi sur l’Alaska,1986 ; survol de la base de missiles russe Kapoustine, 29 juillet 1989 ; la vague belge de 90 et quelques cas récents 91-94. 

En annexes des déclarations de politiques, militaires, scientifiques, astronautes et ufologues,.

Ce document n’est pas plus qu’un autre un document  de synthèse, il est plutôt moins complet. Rien sur les abductions, les agroglyphes, les dissections animales. Un livre de plus. La schizophrénie de l’humanité face aux ovnis continuera. Comment pourrait-elle se terminer ?

Livrons-nous au jeu des spéculations pas si gratuites que ça. Plusieurs scénarios : 1. Guerres nucléaires ou pollution gravissime ou dérèglement climatique ou les trois à la fois et les aliènes interviennent pour sauver la flore et la faune en éradiquant l’homme. 2. La rétro-ingénierie réussit et les États-Unis  déclenchent une guerre des étoiles contre les aliènes… Ils en auraient déjà abattus. 3. Les aliènes continuent d’observer et d’exploiter jusqu’à la fin et prennent notre  suite ou renouvellent l’expérience avec d’autres singes. Une certitude : tant que les États-Unis et les Aliènes y auront intérêt, il n’y a aucune raison à une levée du secret, progressive ou non.

La traduction est bonne sauf les défauts ponctuels habituels. Après 50 ans de pratique les traducteurs et les ufologues n’ont pas encore appris que le mot angloaméricain project, un faux ami, doit être traduit par programme. C’est le mot plan qui signifie projet en anglais. C’est ainsi qu’ils parlent de projet jusqu’à la mort d’un programme appliqué depuis moult années. Leur allégeance à l’anglais les  conduit à écrire mille en anglais, leur ignorance médicale à traiter de physiologiques les troubles fonctionnels et les lésions physiques propres à la pathologie ovienne provoquées par une rencontre rapprochée avec un engin ou un faisceau lumineux . Enfin les noms propres japonais, chinois, arabes, russes, sont le plus souvent écrits dans leur graphie anglosaxonne.

 

Jacques Costagliola

 

eptembre 2003

 

 

 

2.3. Peter A. Sturrock, La science face à l'énigme des ovnis, Presses du Châtelet, 2002

 

L'auteur, astrophysicien, a réussi le tour de force d'obtenir que neuf scientifiques sceptiques écoutent neuf scientifiques ovnistes pendant une semaine et il y a même eu des prolongations. Le verrou sociopsychologique qui retient la communauté scientifique devant le gouffre ovnien n'est pas prêt de sauter. Elle ne se sent pas assez  forte pour l'enjamber et a très peur d'y tomber, elle préfère le nier et le déprécier. Dans tout autre domaine une observation solide documentée appuyée sur des témoins crédibles adossés à des enregistrements physiques suffirait à faire ouvrir le dossier. Ici des centaines ne suffisent pas.

L'humanité, dans ses institutions, préfère se décréter débile, en la personne de la moitié de ses membres - les millions de cerveaux qui ont vu ou croient ceux qui ont vu - qu'accepter l'occurrence de visiteurs lointains forcément surdoués, surpuissants et surarmés. Elle traite le phénomène comme les autres contre lesquels elle ne peut pas grand'chose, la mort, la maladie, l'accident, mais aussi le paranormal par les pauvres mécanismes de défense du paléoencéphale : le rire, la négation, la minimisation, l'incantation. Elle refuse d'utiliser son cortex en panne de modèles acceptables ; elle s'en remet à ses réflexes et ses automatismes de primate chasseur-cueilleur et de conteur à dormir debout ; elle refuse de tenir compte de ses organes des sens et des mesures objectives qui les prolongent ; elle refuse de voir ce qui crève les yeux mais qui crève aussi les bulles de la vanité des vanités, l'illusion des illusions, la certitude des certitudes : sa place in(con)testable à la pointe de l'évolution, à la tête du monde vivant, son hégémonie d'espèce, ses croyances scientifiques, sa conception du monde et de l'homme.

Il lui est impossible de reconnaître d'autres espèces ont été plus favorisées, sont allées plus haut et ont acquis des pouvoirs sur la matière, l'espace, le temps et la lumière, qu’elle considère inaccessibles. Elle n'est pas prête à se voir mise en laisse, peut-être en muselière. Au mieux à régresser à l'état d'humanité enfant jugée, surveillée, manipulée, commandée par des humanités adultes.  Elle n'est pas prête à abdiquer son statut de prédateur unique, et ce au moment où, sa science derrière Darwin, Monod et Dawkins croit avoir prouvé l'inexistence de toute instance supérieure. Ni maîtres ni dieux, n'engage à reconnaître l'existence de demi-dieux ou de suprahumains. Ne lui en demandez pas trop. 

La preuve est fournie par l'argument principal des scientifiques dont la nullité et le caractère incantatoire en rappelle d'autres : c'est impossible donc c'est faux, puisque nous ne pouvons aller jusqu'à eux il est évident qu'ils ne peuvent venir jusqu'à nous, il n'y a pas de pierres dans le ciel, nous ne saurons jamais de quoi sont faites les étoiles, plus lourd que l'air ne peut voler, comme si l'oiseau était moins lourd que l'air. C'est à se demander avec Guérin si l'humanité n'est pas déjà sous contrôle du phénomène.

Le séminaire de Pocantico a été soutenu par Laurance Rockfeller, Madame Galbraith et la Society for scienfique exploration et son Journal du même nom, crées pour donner une base d'accueil crédible à ceux qui explorent les faits scientifiquement incorrects.

 Le livre sacrifie à la tradition en reprenant la saga des mesures et des commissions américaines chargées non pas de répondre aux questions cruciales : qui sont-ils ? que font-ils ? que veulent-ils ? mais à une seule : comment faire fermer leur gueule à ceux qui les voient ou cherchent à comprendre ? Puis l'auteur continue classiquement à étaler les preuves par catégories, par statistiques, par analyses, par croisements... dont une seule suffirait - s'il s'agissait de pirates de l'air tout ce qu'il y a de plus terrestres - à leur courir aux fesses : photos, films, radars, marques au sol pannes de voiture, de phares, de radio, de montre, de centrale électrique, de systèmes d'armes, de batteries de missiles nucléaires. Puis il aligne quelques-unes des affaires les plus classiques : MacMinville, Great Falls, RB-47, Valensole, Lakenheath, Ubatuba...

Après ce hors-d'œuvre  ressassé ad nauseam par les uns et méprisé par les autres, on en vient au symposium de Pocantico. On a mis face à face les physiciens Richard Haines, John Schuessler, les astrophysiciens Illoband von Ludwiger, James Papike, l'informaticien Jacques Vallée, l'ingénieur du CNES J-J Vélasco, le biophysicien Bernard Veyret, le géologue HJ Melosh, le photo-ingénieur François Louange, contre autant de sceptiques de poids dans les mêmes domaines. Chacun exposait ses travaux et deux ou trois observations illustrant son domaine : photos, mesures objectives de l'intensité lumineuse déployée, enregistrements radars aberrants, fragments exotiques, pannes, lésions végétales, marques d’atterrissage, mesures de la pression au sol et du poids de l'engin.

Par exemple celle de Fort de France le 20 septembre 1968 où devant les états-majors et équipages de trois bâtiments de guerre français au mouillage, deux observatoires météo, un poste de guet, un sémaphore et quelques habitants, une boule lumineuse de la taille apparente d'une pleine lune est venue lentement de l'horizon plonger devant à la verticale de 30° de hauteur en faisant gratuitement pour le plaisir ou la nécessité deux boucles de 360°, avant de s'éteindre sur place... et reparaître deux heures plus tard au même point et refaire le trajet inverse de bas en haut y compris les deux boucles. Lenteur, trois changements de cap à 90 et 180°, quatre boucles, extinction et rallumage sur place, il est difficile au sceptique de service d'invoquer les bons ovnis de remplacement habituels, étoiles, planètes, météorites, chargés de rationaliser un phénomène prié de rentrer dans le rang de la science terrestre ou de l'imaginaire toléré.

Haines exposa les plus spectaculaires affaires d'intimidation aériennes à la limite de l'agression : ovni se verrouillant dans la queue d'un chasseur chargé de l'intercepter, ovni fonçant de face sur une avion de ligne et l'évitant par un crochet au dernier moment, à moins que l'avion n'ait plongé en catastrophe sans l'attendre, ovni se positionnant devant un avion en fixant sa vitesse sur lui, remplissant toute sa vision avant, ovni interférant avec un atterrissage et éteignant la piste au passage. Facéties ou démonstrations de force ?

Programme scientifique norvégien Hessdalen reconduit chaque année. Syndrome clinique du témoin de rencontre rapprochée dont les symptômes les plus fréquents sont les brûlures oculaires et cutanées dues à la puissance lumineuse qui enveloppe le plus souvent le phénomène et la fameuse paralysie qui laisse intact le tonus musculaire et les mouvements automatiques réflexes, permettant donc au « paralysé » de rester debout en équilibre stable et de suivre des yeux la scène puisque les mouvements des yeux sont automatiques. Il s'agit d'une inhibition sélective des mouvements volontaires par action inconnue, le plus souvent d'un faisceau lumineux, qui met hors circuit l'aire corticale de la commande motrice volontaire, arme propre et éthique bien que massivement dissuasive.

Publié dans ovniologie

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